Quatrième de couverture :

Ils ont trois jours à San Francisco. Trois jours pour écrire leur histoire.

Que feriez-vous si un fantôme débarquait dans votre vie et vous demandait de l’aider à réaliser son vœu le plus cher ?

Seriez-vous prêt à partir avec lui en avion à l’autre bout du monde ? Au risque de passer pour un fou ?
Et si ce fantôme était celui de votre père ?

Thomas, pianiste virtuose, est entraîné dans une aventure fabuleuse : une promesse, un voyage pour rattraper le temps perdu, et une rencontre inattendue…

Digne des plus belles histoires de Capra et de Billy Wilder, Ghost in love donne envie de croire au merveilleux.


Extrait :

Thomas habitait un deux-pièces sous les toits. Cinq étages à pied l’avaient remis d’aplomb. Il avait retrouvé sons équilibre, son corps semblait avoir évacué la drogue, ce qui le rassura.

Avant d’aller se coucher, il fait un tour d’horizon, s’approcha de la fenêtre enchâssée dans la toiture de l’immeuble, et lança un regard vers le ciel, un sourire aux lèvres.

– Si tu savais ce que j’ai vécu ce soir, tu serais le premier à rire. Tu m’as fichu une sacrée peur, mais c’était doux de te voir Papa, même dans un rêve étrange.

Le fantôme de Raymond attendit que Thomas se soit endormi pour venir se poser au pied de son lit. Lui aussi souriait en contemplant son fils.


Genre : Roman
Nombre de pages : 351
Année : 2019
Édition : Editions Robert Laffont / Versilio
ISBN : 978-2-221-15787-9


Mon avis :

Avec ce roman, j’ai été contente de retrouver les débuts de « Marc Levy ». Son côté fantastique qui donne de l’étrangeté à ses histoires. Je me souviens, qu’à l’époque, je dévorais ses livres et que je passais à chaque fois un bon moment.

Ghost in love est une histoire de filiation, d’amour, de voyage. Une lecture facile, pour passer un dimanche sans se poser trop de questions. J’ai pourtant été déçue par ce roman. Je n’ai pas retrouvé la plume de Marc Levy, l’histoire, au fil des pages, est trop prévisible. Les éléments s’enchaînent sans suspens, sans laisser la place au lecteur de vivre l’histoire.

J’ai donc passé un dimanche sans trop réfléchir, à le lire d’une traite quand même et avec le sentiment d’avoir lu une histoire quelconque.