Le Salon du livre et de la presse de Genève est un lieu incontournable pour les auteurs, les éditeurs et les lecteurs, le lieu où se réunissent tous les passionnés de mots. Il se déroule sur cinq jours et pour y avoir été cette année pendant trois jours, je peux dire, avec conviction, qu’il y règne une effervescence incroyable. Cette année, le Salon était agencé d’une décoration noir et blanc qui lui donnait un côté sobre et sophistiqué. Je trouve que la particularité de cette édition était les différentes scènes/places qui y étaient proposées, soit: l‘apostrophe, la place du Moi, la place du voyage, la place Suisse, la scène du crime, la scène de la bande dessinée, le pavillon des cultures arabes, la cuisine des livres, le salon africain et bien entendu le Japon qui était à l’honneur cette année.

Salon

Comme mentionné plus haut, j’ai passé trois jours au Salon du livre et de la presse de Genève en tant que bénévole, et j’ai donc pu profiter du Salon pendant mon temps « libre ».

Mercredi :

En tant que bénévole, je devais aller chercher Alex Capus à l’aéroport en fin de matinée, j’ai pu faire un premier tour rapide du Salon avant de partir à sa rencontre. En début d’après-midi, j’ai accompagné Gilbert Sinoué depuis la scène de l’apostrophe jusqu’au pavillon des cultures arabes et j’ai ensuite été me faire dédicacer le livre de Alex Capus : Léon et Louis. Dans l’après-midi, j’ai assisté à une table ronde sur la « Relève littéraire » avec Sonia Baechler, Nadine Richon et Rachel Zufferey et qui était animée par Daniel Fattone. Je n’ai malheureusement pas pu voir et écouter  la rencontre avec Romain Puértolas qui était animée par Pascal Schouwey, mais j’ai quand même eu le droit à une super dédicace de son livre : L’extraordinaire voyage du fakir qui était resté coincé dans une armoire Ikea.

Mercredi

Jeudi :

J’ai commencé la journée en passant dire bonjour et échanger quelques mots avec un ami écrivain : Jean-Pascal Ansermoz qui m’a dédicacé son livre : Le rire des choses. En fin de matinée, je suis allée chercher Issa Makhlouf à l’aéroport et je l’ai accompagné jusqu’à son hôtel, puis jusqu’au Salon. En l’attendant dans le hall de l’hôtel, j’avais commencé à lire son livre : Une ville dans le ciel qu’il m’a gentiment dédicacé. De retour au Salon, j’ai juste eu le temps de retrouver ma belle-maman et assister à la conférence sur l’alpiniste Erhard Loretan (malheureusement décédé en montagne). En fin d’après-midi, j’ai assisté à la rencontre avec Tatiana de Rosnay qui était animée par Pascal Schouwey. Une rencontre vraiment drôle et qui s’en est suivie par une dédicace de son livre : Son carnet rouge.

Jeudi

Vendredi :

En fin de matinée, je suis allée chercher Pascal Bruckner à l’aéroport et je l’ai accompagné à son hôtel. En revenant au salon en début d’après-midi, il y avait une rencontre qui commençait à la scène de l’apostrophe, et je me suis donc laissée surprendre par cette rencontre avec Myriam Anissimov qui était animée par Pascal Schouwey, il s’en est suivi la dédicace de son livre : Jours nocturnes. Dans l’après-midi, j’ai assisté à la conférence que donnait Pascal Bruckner au stand de l’Hebdo concernant son denier livre : Un bon fils qu’il m’a dédicacé à la fin de sa présentation. Issa Makhlouf (rencontré mercredi) m’avait chaleureusement invitée à venir assister au « Récital de poésie : Soleils fraternels » (lecture de poésies en arabe par lui-même et en français par une comédienne. Ils étaient accompagnés par une violoncelliste). Un moment touchant et magique.

Vendredi

Cette expérience en tant que bénévole était vraiment enrichissante et passionnante, et je « signe » directement pour la prochaine édition !