Le mercredi, il était prévu que j’aille chercher Alex Capus à l’aéroport de Genève à 12h40. Comme c’était le premier jour de ma « mission » de bénévole, j’avais pris de la marge dans l’horaire et j’étais arriver vraiment en avance. Lorsque sur le panneau d’affichage il était mentionné que l’avion avait atterri, je me suis mise dans un coin visible avec mon affichette « Salon du livre et de la presse Genève » en évidence. A chaque fois que la porte s’ouvrait et laissait sortir les passagers, je brandissais mon affichette en hauteur pour être sûre qu’il la voie. J’ai attendu, attendu, attendu, et après presque une heure d’attente, j’ai contacté ma responsable pour l’avertir qu’il n’était pas là et je suis donc retournée au salon. Quand je suis arrivée au salon, la responsable m’a dit qu’il était arrivé tout seul. Un peu plus tard, je l’ai trouvé lors de sa dédicace et pendant qu’il me signait son livre : Léon et Louise, je l’ai informée gentiment que je l’avais attendue à l’aéroport. Il s’est excusé, mais il ne savait pas que quelqu’un venait le chercher.
Comme j’étais au salon le reste de la journée, on m’a demandé si je pouvais accompagner Gilbert Sinoué de la scène l’apostrophe à la scène le pavillon des cultures arabes une fois qu’il aurait terminé sa conférence et la dédicace qui s’en suivait. J’ai donc pu échanger quelques mots avec lui.
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